Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre.
Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre.
Quand Rome est mise à sac (410 ans ap. J.-C.), un soupçon naît chez les Romains adversaires du christianisme : seraient responsable du déclin de Rome? Augustin relève le défi de cette interrogation. La force et l'originalité de La Cité de Dieu consistent à proposer un principe pour éclairer le jugement, pour comprendre des événements inédits qui instaurent de nouveaux équilibres. Augustin distingue en effet entre le devenir de deux cités : la cité de Dieu et la cité terrestre.
Ces textes extraits des Confessions, livres XI et XII posent des questions essentielles auxquelles Saint Augustin tente de répondre avec une foi profonde alliée à un grand bon sens.
Né en Afrique au IVe siècle, Augustin mène une jeunesse de plaisirs et d'insouciance jusqu'à l'âge de 32 ans. En quête de Dieu, il finit par le découvrir en lui-même. C'est de cette façon-là qu'il aura une nouvelle compréhension du mal, du temps et du monde.
L'idée maîtresse, à l'origine de ce travail, a été de restituer dans une écriture contemporaine les paradoxes du texte et de la langue d'Augustin. La traduction veut faire entendre la modernité du texte augustinien, dans lequel les figures de l'aveu et de la confession sont au service de l'invention de soi.